Travail plastique personnel de Raphaël Hocquard.
Au départ, il s’agit d’images de divers médias internet illustrant l’actualité de l’incendie de Rouen puis de Lyon. J’essaie après quelques triturations numériques de les faire tendre vers le pictural et de les déposséder de leurs réalités.
Je m’approprie ces images en les travaillant sur mon téléphone en une minute (Phone minute photography). Les temps médiatiques et artistiques se confondent, se confrontent. Dans l’idée seulement, car le pouvoir médiatique de mon compte Instagram n’est pas comparable à celui des médias [...]
Ces images sont-elles à considérer comme un travail plastique à part entière ?
Il faut peut-être les apprécier comme une amorce de projet, une formalisation succincte, rapide de l’origine d’une idée.
Faut-il en faire autre chose ? J’en ai le désir. Peut être en imprimant ses phonographies en grand format sur toile pour les retoucher à l’huile et par extension les confronter à d’autres espaces, d’autres temps de pratique.
La série se divise en deux parties, l’une consacrée aux images issues d’internet et une autre consacrée aux images tirées des journaux papiers.
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